Introduction :
Cet atelier est co-organisé par Cités Unies France et les Maires pour la Paix. Face à la multiplication des crises géopolitiques, qui engendrent violence, guerre et misère, les collectivités territoriales jouent un rôle clé sur la scène internationale. Par leurs actions, elles peuvent influencer la gestion des conflits et prévenir l’escalade des tensions dans les territoires partenaires. Le devoir de mémoire, en tant qu’outil de prévention, peut jouer un rôle crucial dans ce processus. Cela est particulièrement pertinent en 2025, marquée par plusieurs anniversaires significatifs : les 30 ans de la coopération palestinienne avec le RCDP (Réseau de Coopération Décentralisée pour la Palestine), les 30 ans des Accords d’Oslo, et les 80 ans des bombardements de Hiroshima et Nagasaki. Ces anniversaires ne sont pas seulement des moments de commémoration, mais aussi des occasions de se souvenir des horreurs des conflits passés et de prévenir la répétition de l’histoire.
Buts et objectifs de l’atelier :
L’objectif de cet atelier est de montrer que la mémoire peut devenir un outil pour cultiver la paix. Préserver la mémoire, c’est prévenir les conflits. Les collectivités territoriales peuvent s’engager pour la transmission de l’histoire, de la mémoire de conflits pour cultiver la paix. Cette mémoire peut être construite dès le début d’une crise, accompagnée de fonds de solidarité, afin de prévenir la récurrence de ces événements. Il est essentiel de valoriser et de partager les mémoires locales. L’atelier mettra en lumière la manière dont ces mémoires et les fonds de solidarité peuvent s’intégrer dans une démarche globale de culture de la paix.
Ordre du jour
Animation :
Intervenant·e·s : (chaque intervenant.e.s ayant 10 à 12 minutes de parole)
1. Introduction
2. Cultiver la mémoire dans les territoires
3. La mémoire pouvant être produite avec le Fonds de solidarité